Guérir par le souffle : « Huacos » par Cécile Magnin

Cécile Magnin nous ouvre les portes de sa méthode « Huacos » qui allie le souffle et les mouvements du corps pour nous transformer interieurement.

Retrouver son site, son livre et ses formations sur : https://huacos.com

L’intégral de l’interview de Cécile Magnin est à retrouver ici:

Dans ce premier épisode, Cécile Magnin revient sur son chemin singulier : d’abord kinésithérapeute, puis ostéopathe, puis thérapeute de l’invisible…

jusqu’à créer la méthode Huacos, née de son intuition, de ses ressentis, et de sa profonde connexion aux souffles et langages du corps.

Il y a des chemins qui ne rentrent dans aucune case.

Des sensibilités qui dérangent.

Des âmes qui ne suivent pas le moule.

Dans cet épisode, Cécile Magnin raconte comment, aux yeux de sa famille catholique,

elle était « anormale », « pas comme tout le monde », trop intuitive, trop sensible, trop autre.

Mais ce qui était perçu comme une différence… était en réalité son plus grand don.

Celui qui l’a conduite à devenir guérisseuse, à comprendre l’invisible, à créer Huacos.

Parce que parfois, pour suivre sa voie,

il faut accepter de ne pas correspondre à celle qu’on attendait que tu sois.

Et si l’air que nous respirons savait exactement comment nous réorganiser ? Dans cet épisode 3, Cécile Magnin nous parle du double souffle : cette respiration ostéopathique subtile, où l’air ne fait pas qu’entrer et sortir, mais traverse, réinforme, remet de l’ordre à l’intérieur. Un souffle qui réajuste les tissus, qui apaise le système nerveux, qui rappelle au corps son intelligence originelle. Respirer devient alors un acte de guérison, un dialogue silencieux entre le vivant et l’invisible.

Et si se rencontrer vraiment passait par le souffle ?

Dans cet épisode 4, Cécile Magnin nous partage comment le souffle permet de se retrouver dans son axe, dans son sens, en laissant se dissoudre les traumas de vie inscrits dans le corps.

En respirant autrement, ce qui était figé se remet en mouvement, ce qui pesait se relâche, et l’être peut enfin se rencontrer sans les couches de survie.

Le souffle ne force rien. Il révèle. Il libère ce qui n’a plus besoin d’être porté.

Parfois, la guérison est spectaculaire. Elle se voit. Elle se mesure. Elle apparaît même sur les radios.

Mais dans cet épisode 5, Cécile Magnin rappelle une vérité essentielle :

la guérison ne dépend pas seulement de la technique. Elle dépend du niveau de conscience de la personne. Informer ses cellules, c’est leur permettre de comprendre qu’un autre fonctionnement est possible. C’est sortir de la survie pour entrer dans la présence.

Quand la conscience s’élargit, le corps suit. Et parfois… il se réorganise de façon inattendue.

Guérir, ce n’est pas seulement réparer. C’est changer de peau.

Dans cet épisode 6, Cécile Magnin nous parle de ce moment clé où la conscience s’élargit… et où le corps n’a plus d’autre choix que de se réorganiser. Comme une mue. Une ancienne enveloppe qui ne convient plus à la personne que l’on devient.

Quand la guérison commence, le corps quitte ses stratégies de survie, les anciens repères tombent, et une nouvelle manière d’habiter la vie s’installe.

Ce passage peut déstabiliser. Parce qu’il demande de lâcher l’ancien soi. Mais c’est ainsi que le corps retrouve son intelligence profonde.

Soyez dans votre ventre.

Pour laisser la vie entrer. Pour la laisser sortir. Sans contrôle. Sans résistance.

C’est le conseil que Cécile Magnin nous offre pour clore cette interview : habiter son centre, faire confiance au mouvement de la vie, laisser le souffle faire son œuvre.

Quand on est dans son ventre, tout circule. Tout s’aligne. Tout devient plus juste.